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 MR. CORNU ET MME. PEREIRA

Comment est né le projet PALMUN ?


Mr Cornu: “En 2010, j’ai élaboré la Modélisation des Nations Unies à Madrid avec des conférences en français et en espagnol et lorsque qu’en 2017 j’ai appris que la conférence NUMAD ne se poursuivait pas, j’ai proposé la création d’une conférence du même genre ici à Majorque. Cette conférence tout d’abord destinée aux élèves français d'Espagne et du Portugal, elle est également ouverte à d’autre établissements de France ou du reste de l’Europe.”

Mme Pereira: “En réalité l’idée a commencé il y a 25 ans au Kenya lorsque des élèves ont été préparés pour la première fois à une conférence de l’ONU et nous continuons encore ce projet depuis.”


Y a-t-il des choses qui vous ont déplu lors de la première édition et que vous avez changé ou amélioré pour cette année ?


Mme Pereira: “Nous avons essayé de rendre les règles et le fonctionnement plus facile.”

Mr Cornu: “Contrairement à l'année dernière nous avons commencé pour cette édition avec une cérémonie d’ouverture, permettant de rendre l'événement plus formel et officiel (même si il a fallu payer plus pour l'Auditorium).


Quels ont étés les aspects les plus difficiles de l’organisation de l’évènement ?


mme Pereira: “Le plus difficile était probablement la motivation des élèves puisqu’étant majoritairement en Première et Terminale, ils ont le bac à préparer et l'événement a lieu à la fin du premier trimestre et préparer des résolutions en français et anglais leur rajoute du travail alors qu’ils sont déjà fatigués.”


Êtes-vous contents du rendu pour l’instant ?


 Mr Cornu: “ oui, moi de ce que j’ai peu voir ce matin de l’ouverture, on sentait une meilleure préparation, plus de confiance pour la prise de parole, une meilleure compréhension du format et ce qui est attendu, des discours construits, approfondis des ambassadeurs  et qui représentent bien la position des pays. En termes d’organisation également, il y a beaucoup moins de questions lors de la phase de préparation ce qui veut dire que les enseignants et les élèves étaient préparés et savaient ce qui était attendu d’eux, donc beaucoup plus de sérénité dans la préparation”


Que faites-vous pendant que les élèves sont dans leur commissions ?


 Mme. Pereira: “Je commence par vérifier que tout fonctionne et qu’ils ne manquent de rien, les photocopies, les absences, la nourriture, et éventuellement si les élèves ont des questions pratiques sur une résolution, une position d’un pays j’essaye d’assumer.”

Que pensez-vous que ce projet peut apporter au jeunes ?


Que ressentez-vous en voyant tous ces jeunes ainsi investis ?


Mme. Pereira: “Fière”


Mr. Cornu: “Beaucoup de fierté, ici à Palma pour nos élèves, nous sommes une petite école, effectivement nous avons réussi a parmis nos 50 élèves, 11 élèves se sont engagés sur la présidence avec un travail énorme, une qualité de présentation de préparation, donc beaucoup de fierté, et puis beaucoup d’optimisme, voir qu'à 16, 17 ans ont est capables de s’engager, d’être motivé de croire en quelque chose ça me rend très optimiste pour l’avenir.”


Espérez-vous que le prochaine édition accueil encore plus d’écoles ?


Mme Pereira: “Oui, je pense que pour nos élèves il est important de s’ouvrir, on vie sur une île et il faut s’ouvrir, discuter avec d'autres pour fixer nos projets de vie pour s’avoir ce qu’on voudrait, pour découvrir, pour faire des amis, voilà.”


Mr. Cornu: “Oui, ouverture sur d'écoles locales, ou peut être une ou deux possibilités avec une école anglaise, une école d’état au baléares, d’autres établissements d’espagne j'espère que nous rejoindront et puis des établissement de l'extérieur aussi, je pense que ce mélange d'élèves de différentes origines est une des forces de la conférence.”


Hortense, Yoan et Sumi

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